Paris, 2027. Depuis que les femmes parlent et qu’on les écoute, de nouvelles pathologies apparaissent qui alertent l’O.M.S et la communauté scientifique. L’hôpital de la Pitié Salpétrière vient d’ouvrir une unité de soin et de recherche sur le sujet. L’hôpital devient alors le lieu de toutes les fictions, de toutes les Fantasmagories. Nathalie Fillon ausculte ce que sera le monde post MeToo, dans une écriture brillante, impertinente et joyeuse. Il fallait cette liberté d’écriture pour orchestrer cette pensée. Il fallait cette forme musicale pour aborder tout l’entrelas des émotions, il fallait la danse pour témoigner de la joie des corps.

« S’offre à nous, sur un fond de gravité essentielle, un plaisir effréné de théâtre en liberté. On y chante, on y danse. On y pense, aussi, dans le droit fil d’une constante allégresse. (. . .) » Jean-Pierre Leonardini – l’Humanité